4 février 2019
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13:54
Serge Bourguignon
Entre beauté et désespoir, le film instaure une folle mélancolie et ne cesse de captiver. Et si l’issue est un peu brutale, on ne peut que rester hantés par la majorité des scènes dont le parfum de scandale s’estompe pour laisser place à une rare poésie. Le sentiment à la sortie de salle est assez indescriptible. C’est souvent le cas pour les grands films.
2 février 2019
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30 janvier 2019
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28 janvier 2019
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PACHAMAMA
26 janvier 2019
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15:35
Quel voyage
Que de temps parcouru
Des années, des siècles,
Que de personnes aimées disparues ou présentes
Et tu es là grâce à eux
Quel bonheur
Tant d'amour
24 janvier 2019
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17:01
Parce que tu me parles avec des mots et moi, je te regarde avec des sentiments…
« Nous sommes tous des Pierrot le fou, d’une façon ou de l’autre, des Pierrot qui se sont mis sur la voie ferrée, attendant le train qui va les écraser puis qui sont partis à la dernière seconde, qui ont continué à vivre »
Louis Aragon
"Après tout, j'suis con."
22 janvier 2019
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18:35
Jardin du Luxembourg
Paris 6ème
le 22 juillet à 18 H
Concert gratuit
FESTIVAL 2010
PARIS QUARTIER D ETE
http://www.quartierdete.com/
20 janvier 2019
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20:46
Oeuvre majeure du cinéma d'animation des années 50
Adaptation du roman de George Orwell
Après plusieurs années de silence et de soumission, les animaux de la ferme de Mr. Jones décident de prendre le pouvoir et instaurent une nouvelle société, fondée sur le principe de l'égalité de tous les animaux.
Mais la réalité ne tarde pas à rattraper l'utopie, certains "quatre pattes" tentant de s'accaparer le pouvoir.
Réalisé par Joy Batchelor, John Halas
Avec Gordon Heath, Maurice Denham ...
Film britannique.
Genre : Animation
Durée : 1h 12min.
Année de production : 1955
Titre original : Animal Farm
18 janvier 2019
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17:54
Lorsque l'on tient entre ses mains, cette richesse,
Avoir vingt ans, des lendemains pleins de promesses,
Quand l'amour sur nous se penche
Pour nous offrir ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit loin devant soi rire, la vie,
Brodée d'espoir, riche de joies et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse
Sa jeunesse!
Car tous les instants
De nos vingt ans
Nous sont comptés
Et jamais plus
Le temps perdu
Ne nous fait face,
Il passe!
Souvent en vain on tend les mains, et l'on regrette,
Il est trop tard, sur son chemin, rien ne l'arrête!
On ne peut garder sans cesse
Sa jeunesse.
Avant que ne sourire et nous quittons l'enfance,
Avant que de savoir la jeunesse s'en fuit.
Cela semble si court que l'on est tout surpris qu'avant que ne comprendre
On quitte l'existence.
Lorsque l'on tient entre ses mains, cette richesse,
Avoir vingt ans, des lendemains pleins de promesses,
Quand l'amour sur nous se penche
Pour nous offrir ses nuits blanches,
Lorsque l'on voit loin devant soi rire, la vie,
Brodée d'espoir, riche de joies et de folies,
Il faut boire jusqu'à l'ivresse
Sa jeunesse!
Car tous les instants
De nos vingt ans
Nous sont comptés
Et jamais plus
Le temps perdu
Ne nous fait face,
Il passe!
Souvent en vain on tend les mains, et l'on regrette,
Il est trop tard, sur son chemin rien ne l'arrête.
On ne peut garder sans cesse
Sa jeunesse.
16 janvier 2019
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01:06
I was living in the Haight,
and there was this wonderful, precocious, audacious four-year-old living upstairs from me.
I was a film student at the time, and I needed a project, so I decided to film him.”
Ralph Arlyck, Filmmaker
À 26 ans, Ralph Arlyck est naturellement attiré par la côte ouest des États-Unis et par son pôle magnétique, San Francisco. Il habite Haight Ashbury, le quartier d'où est parti tout le mouvement hippie. Installé aux premières loges, il assiste à la montée de fièvre d'une nouvelle culture qui investit les rues avec ses manifestations, ses contestations et emplit les âmes de musique, de sexe et de drogues. Étudiant en cinéma, armé d'une caméra super-huit, Ralph Arlyck capte des images précieuses : ses voisins, Johnny et Suzy, jeunes parents d'une famille nombreuse qui ont transformé leur appartement en refuge pour tous les gens de la rue. Un jour, il monte sur son skateboard pour suivre les déambulations de Sean, le fils de ses voisins qu'il interviewe ensuite chez lui.
À 4 ans le garçon est bavard, curieux, vif, débraillé. Il ne distingue pas les jours de semaine, ne porte pas de chaussures. Dans le quartier, Sean est comme un poisson dans l'eau : il sait reconnaître les junkies des dealeurs, il sait qu'il faut éviter les voitures de police... Bien installé sur un canapé, le sourire aux lèvres, Sean se vante d'avoir déjà fumé de l'herbe. Le court métrage documentaire de Ralph Arlyck fait le tour des festivals ; il est présenté lors d'une conférence à la Maison-Blanche sur les aides de l'État aux enfants et en 1970 projeté en avant-programme de L'enfant sauvage de François Truffaut. Vingt-six ans plus tard, marié à une Française et père de deux enfants, le réalisateur retourne à San Francisco sur les traces de Sean et de ses parents. Que sont-ils devenus ?
(Etats-Unis, 2006, 83mn)